Mercredi 18 août 2010 à 20:16

En fait je suis submergé par le monde. Tout arrive, tout est grand, tout est digne d'intérêt : toutes les vies valent le coup d'être vécues.


Je suis incapable de faire un choix, et je sais bien que la notion de choix est à la base de toute création, à la base de la vie.

Je suis fasciné par tout ce qui peut me procurer des sensation, et je suis assez sensible pour que ces choses soient innombrables.


Alors est-ce que je vais continuer à me laisser porter, et finalement n'arriver à rien de Grand ? Est-ce que c'est grave si c'est le cas ? Tout ce que je veux maintenant, c'est partager. C'est ce constat qui me porte. Mais mon indetermination m'empêche d'être efficace. De toucher. De transmettre.



Qu'est-ce qui a de l'importance ?


Tukutukutukutuku ...



J'essaie de remonter le cours de mes motivations, trouver une raison profonde, matrice du mouvement qui me mouvra jusqu'à la mort.

Cette raison qui se matérialise dans mon amour pour la musique, l'art en général, l'envie de rayonner, l'amour que je porte pour certaines femmes (pour la "potentialité d'un partage étendu"). Mon goût pour l'analyse. L'envie de comprendre. Ou de saisir.





Un grand point d'interrogation qui se condense en son point.










?

Samedi 7 août 2010 à 22:21











La douleur de la vie ne vient pas de l'expérience de ce qui est, mais du regret de ce qui aurait pu être.




















Chaque choix est le meurtre d'une infinité de possibles.

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