Lundi 31 août 2009 à 20:25

Je suis allé sur le blog d'un drôle de monsieur, l'Ancien qu'il se fait appeler. Il tient un blog entre la reflexion psychologique et tasanté.com. C'est pas mal pour nourrir les réflexions. Si je poste ça c'est pour pas oublier d'y passer de temps à autres.


En plus j'ai laissé des commentaires. Ca ne m'était pas arrivé depuis des années.

Lundi 31 août 2009 à 15:52

Les grands de ce monde sont ceux qui prenne la vie à bras-le-corps, ceux qui l'acceptent dans sa Vérité et qui se battent pour la maîtriser.


Alors ma journée est finie, j'ai essayé, ça marche pas. Alors ? Maintenant je fais quoi ?

Ce trou noir ne marchera pas aussi bien que l'autre. Forcément, ils sont trop rapprochés. Tout a déjà été chamboulé, difficile de faire pire.



Aller de l'avant, une bien belle idée, mais encore faut-il en avoir la force. Je me remettais tranquillement. bam

I will make it.




Le mois d'Août est fini.


Day is done

Dimanche 30 août 2009 à 12:57

L'été se finit. Et je ne me souviens de rien. Un grand sentiment de confusion s'empare de moi lorsque j'essaie de me souvenir clairement de ce que j'ai fait pendant ces deux mois. Tellement de choses sont arrivées.

J'ai eu des vies différentes en très peu de temps. Et je n'ai pas vraiment eu de pause entre elles. Je me suis perdu en route certainement.

En tout cas je me sens très bizarre.


Et qu'est-ce que je vais faire maintenant ? En fait je sais ce que je vais faire. Là. Tout de suite. Mais je cherche un but. Un idéal vers lequel tendre. Mais un idéal moins confus que ce que j'ai en tête.

*
*      *


 
Je l'ai oubliée. C'est assez violent, mais je n'ai qu'une idée bizarre de ce qu'elle peut être. Je crois même que je la hais un peu. 

Il faut vraiment que je me débarrasse de ça, ça devient n'importe quoi.


On aurait pu être ami, qui sait ? Peut-être que ça aurait été bien. Ou pas.


J'oublie. Mon été se résume à ces trois heures ...

Vendredi 28 août 2009 à 19:34

If you can keep your head when all about you
Are losing theirs and blaming it on you;
If you can trust yourself when all men doubt you,
But make allowance for their doubting too;
If you can wait and not be tired by waiting,
Or, being lied about, don't deal in lies,
Or, being hated, don't give way to hating,
And yet don't look too good, nor talk too wise;

If you can dream - and not make dreams your master;
If you can think - and not make thoughts your aim;
If you can meet with triumph and disaster
And treat those two imposters just the same;
If you can bear to hear the truth you've spoken
Twisted by knaves to make a trap for fools,
Or watch the things you gave your life to broken,
And stoop and build 'em up with wornout tools;

If you can make one heap of all your winnings
And risk it on one turn of pitch-and-toss,
And lose, and start again at your beginnings
And never breath a word about your loss;
If you can force your heart and nerve and sinew
To serve your turn long after they are gone,
And so hold on when there is nothing in you
Except the Will which says to them: "Hold on";

If you can talk with crowds and keep your virtue,
Or walk with kings - nor lose the common touch;
If neither foes nor loving friends can hurt you;
If all men count with you, but none too much;
If you can fill the unforgiving minute
With sixty seconds' worth of distance run -
Yours is the Earth and everything that's in it,
And - which is more - you'll be a Man my son!


 
Rudyard Kipling
 
*

*            *

Ca ne me ressemble pas tout ce qui s'est passé.

Je n'ai pas envie d'en parler. Pas aux gens. Pas à mes amis. Pas à mes proches.



Je ne veux pas me plaindre.


Mais c'est impossible à comprendre ! J'ai toujours détesté être amoureux. Parce que ça sous-entend qu'on recherche la réciproque, alors que je déteste encore plus me demander si on m'aime.


Je préfère que tout le monde me déteste sincèrement, plutôt que de me demander en permanence pourquoi on peut bien m'apprécier.




Alors pourquoi j'ai voulu que toi tu m'aime ?


Je découvre ma part de primitivité. L'inexplicable. Je n'arrive pas à m'analyser sur ce coup-là.


Et ça continue. Enfin je crois comprendre qu'il s'agit d'amertume vis-à-vis de ce que j'ai dit et fait.


Si ça tombe ça va aller mieux un jour ! Haha ...




Allez les copains, on rempile pour une année ...


Plus vite ce sera fait, plus vite on sera morts


Some lessons don't come easy
And that's the price we have to pay
Some lessons we learn the hard way



(Why ? ...)
 

Jeudi 27 août 2009 à 12:07

En fait je veux juste que les gens ressentent ce que je ressens.


Alors chère E., je te dis adieu, je sais que tu ne pourras pas me suivre le long de cette rivière.

Je ne vais pas pour autant m'y noyer.

Je vais la suivre et voir ce que j'y trouverais. Simplement. En toute humilité.



Gonna see the river man





(As happy as Nick Drake)

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