Dimanche 30 juillet 2006 à 21:08

Ca me gonfle un peu de continuer mon histoire.
Mais y faudrait quand même, parce qu'après je m'en souviendrais plus (éh oui, 100% autobiographique ! (bon 100% n'est peut-être pas l'expression la plus appropriée ...)).

Flûte.

Mardi 18 juillet 2006 à 23:27

Or donc nous nous retrouvâmes embarqué dans une quête au-dessus de tout ce que nous avions accompli prédemment ...
Après avoir lutté contre les courants violents de sable menaçant de nous ensevelir a tous instant, nous nous retrouvâmes sur un édifice de pierre érigé en bordure du pays des sables afin d'en marquer la frontière et de protéger les habitants du pays voisin.
Un spectacle ubuesque* s'offrit alors à nos yeux ensablés d'hommes rompus à voir des choses invraisemblable, incroyable, abracadabrantesque, voire même à croiser des tRu3 R3b3Lz respectables**. Mais non, ce spectacle n'était définitivement pas du même accabit. Des milliers et des milliers de personnes se déplaçaient en foule dans un mouvement d'éxode indiscible***.
Une fois remis de notre étonnement - largement justifié - nous décidâmes de nous enfoncer dans la masse compacte de corps en mouvement.
Cette marée humaine allait nous étouffer !
Par une incroyable chance, ou tout simplement par la volonté des Dieux****, nous traversâmes ce flot impétueux qu'est celui d'une foule excitée à l'idée de passer une excitante soiré, ponctuée de "Oh la belle bleue" "Oh la belle verte" "Oh label rouge"*****.
Une fois cet enfer à distance raisonable de nous, nous débouchâmes sur une place circulaire et dégagée où nous reprîmes notre souffle.
Nous approchâmes de la cabane où nous devions nous procurer des vivres, la dernière que la folie des hommes n'eue ruinée.
Nous vîmes un groupe de personnes massées autour du comptoir, et nous retrouvâmes nos compagnons partis en éclaireur. Qui nous accuillirent en ces mots :
"Va falloir faire la queue"


[Je m'excuse auprès de toute personne pouvant lire cette (n'ayons pas peur des mots) merde, je m'appesantis sur le sujet, mais  l'inspiration vient en moi telle la sève en l'arbre et patati patata ...
Désolé.]
______________________________________
* Bien qu'Ubu Roi n'ait jamais été écrit dans ce monde étrange qu'est celui de Khô-ley
** J'éxagère bien sûr, vous l'aurez compris
*** Indiscible n'est certes pas le mot mais j'ai épuisé mon stock d'adjectifs en in-
**** Y'a quelqu'un ?
***** Veuillez me pardonner ce pitoyable jeu de mot ... je n'y trouve aucune excuse valble ....

Dimanche 16 juillet 2006 à 21:36

Or donc notre compagnie était au complet. Nous étions fin prêts à accombplir notre quête.
Attendre l'apocalypse.
Ayant un peu de temps devant nous, nous prîmes la décision de nous amuser avec les quelques exsplosifs à notre disposition, même si le vent nous empéchât de le faire tranquillement. Nous lançâmes des fusées de feux chatoyantes qui zébraient le ciel de nuages éphémères de fumée blanche avant d'exploser dans un fracas assourdissant, nous jetâmes des bâtons d'explosifs qui nous explosaient littéralement à la fiigure, nous fîmes jaillir mille et une étincelles multicolores du sol par l'utilisation de sorts mineurs.
Puis ils arrivèrent.
Nous les avions oubliés.
Des jeunes barbares des steppes du Grand Est.
Ils vinrent à nous sans difficultés, habitués aux tempêtes de neige à des températures largement en dessous de zéro. Mais le sable s'immisce là où la neige se contente de fondre, ainsi durent-ils se réfugier dans notre abri, décidemment trop exigu pour le nombre que nous étions.
Quelques-un sortir se dégourdir les jambes à l'extérieur. J'en fus.
Nous luttions contre des sables tourmentés et tourmentants. Mes yeux furent vite empli de ces terreurs minérales et je dus me retirer une fois de plus.
Mais je ne m'avouais pas vaincu.
Mes acolytes me rejoignirent alors que je pansais mes plaies et l'un de nous distrayat les jeunes barbares qui se montraient par trop excité par les évènements à suivre. Nous nous rendîmes compte que nous avions un problème ...
Qu'est-ce qu'on graille ?
Nous nous concertâmes longuement et âprement sur la question. Nous en conclûmes que nous devions nous séparer en deux groupes : un groupe de deux personnes partirait en éclaireur, l'autre groupe de quatre personnes (dont je faisait partie) suivrait les traces du premier groupe.
Nous nous lançâmes donc à travers les vents hurlants de ces plaines désertiques et froides, essayant de survivre pour atteindre des rivages plus cléments et, qui sait, peut-être de la bouffe ...

Samedi 15 juillet 2006 à 22:19

Or donc ce fut la bonne fortune qui guida mes pas à la lisière de ce mystérieux monde qu'est celui des sables volants*.
Alors que l'astre du jour était encore haut dans les nues, l'homme que j'attendais arriva. Sa démarche décontractée ne laissait rien transparaître de ce qui allait arriver. Confiant, nous pénétrâmes en ce dangereux désert, insouciant de l'aventure qui nous attendais. Mon guide me montra une cabane où nous pûmes reprendre des forces et converser.
Nous n'allions pas rester seuls longtemps, ce ne serait qu'une question de temps ...
Afin de tuer le temps qui nous assaillait de toutes parts, nous décidâmes d'échauffer nos réflexes faces aux flammes et aux explosions diverses que nous serions peut-être amenés à rencontrer pendant la soirée.
Sortant de son antre, si proche, mais à laquelle nous n'avions prété attention, elle se manifesta, alertée par les bruits qu'elle avait ouï.
La Beste !
Elle eructa une suite de borborygmes incompréhensibles dans notre direction avant de retourner dans les sombre tréfonds de son repaire, où d'autres viles créatures s'enivraient. Nous en avions réchappé de justesse ...
Alors il arriva.
Lorsque nous le rencontrâmes, notre compagnon essayait de se frayer un chemin à travers le dédale venteux et tourbillonant des sables.
Une fois rentrés ensemble, nous attendîmes ...
Dieu sait combien de longues heures nous attendîmes le reste de la compagnie. Enfin un signe de vie nous parvint.
Harasé par la fatigue, assoiffé par un long voyage, nous récupérâmes encore un allié sur le seuil désormais ensablé de notre étroit établi.
Une fois de plus nous dûmes attendre, le temps s'écoulait mais nous ne pouvions plus que le sentir passer, sans moyen de le mesurer. Nos forces vitales commençaient à nous quittés. Nous essayions de nous convaincre de la vie de chacun par diverses distractions avec les torches magiques, projeteurs d'eau et diverses armes à notre disposition telles les marteaux légers et épieux.
Alors que nous sentions tout espoir nous quitter, alors que nous songions à abandonner, les quatres autres compagnons qui devaient nous accompagner dans notre quête arrivèrent enfin ... la fête allait pouvoir commencer !

_______________________________
(*) Ou peut-être était-ce une invitation, mais celà influe peu dans le cours de notre récit.

Mardi 11 juillet 2006 à 22:11

Le bonheur c'est simple comme une suite d'accord ...

Une simple descente chromatique ...

Des choeurs dissonants à la quarte ...

Une cadence parfaite ...

Essayez ça marche.


Peut-être vais-je lui dire ...

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