Dimanche 29 juillet 2007 à 22:11

La beauté absolue (bien que subjective, la beauté peut être absolue, elle n'a simplement pas la même source d'un individu à l'autre) n'a pas besoin de frontières d'émotions : elle est toutes les émotions à la fois, elle peut être n'importe laquelle, elle n'est aucune émotion, elle est au-dessus de tout ça. Il n'a rien de comparable. Les mots ne sont rien à côté, une description serait inopportune et sans intérêt, ce serait essayer d'éclairer l'univers avec une alumette.

La beauté est partout pour qui cherche à la trouver, elle est dans notre sensibilité, il nous suffit d'un peu de volonté et beaucoup de chance, d'une ouverture d'esprit incroyable sur l'instant mais surtout d'Art.

L'Art est tout ce qui est beau : c'est à dire quelque chose créée dans l'optique d'une appréciation par des esprits ouverts sur les sentiments desquels l'oeuvre aura à un impact, quel qu'en soit la nature.

L'absolu est finalement une notion relative, propre à chaque individu. Il est de notre ressort de créer notre absolu et de l'atteindre. Cette forme abstraite de finalité, ce semblant de but, ne s'apparente à rien d'autre : on ne parle pas de bonheur ou de joie, il n'y a aucun rapport. La plénitude serait l'idée qui s'en rapproche le plus.

Il ne faut pas chercher un sens à tout. Certaines choses sont à prendre hors contexte, sans avoir à souffrir de comparaison ni de norme.


Certaines choses sont absolues.


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