On repousse toujours au lendemain ce que l'on ose commencer, de peur de détruire la magie de l'instant en débutant à un moment inapproprié.
Mais alors quand ?
Est-on libre de nos actes finalement ? Il y aura toujours une chose pour nous juguler le peut de liberté que nous pensons ou espérons avoir. Alors l'homme insouciant des pays industrialisés perd toute raison de vivre quand d'autres perdent les moyens de vivre. Les moyens manquent toujours à ceux qui trouveraient une raison.
Sans injustice, que serait le monde ?
But there's still day beneath the sun
Lundi 29 octobre 2007 à 20:52
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