La nuit je deviens fou parfois. Parce que je pense. Parfois à la mort.
Mais le plus dur c'est de penser à la vie, car elle est insaisissable. Que sais-je de ce que je serais ? De ce que je devrais faire ? Rien de tout cela n'est acquis. Juste l'impression de vivre différemment. De ne pas finir au même point que les autres. Et ce sombre pressentiment d'une vie trop courte.
En attendant, pour me sentir exister, je ne vais pas en cours aujourd'hui et je bois du thé.
Oui, je pense que ce cerveau ne marche pas comme les autres.
Vendredi 8 mai 2009 à 22:43
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